En 2020, la COVID-19 a affecté de façon importante l’économie et la sociabilité mondiales. Mais du côté de l’environnement, le coronavirus a beaucoup apporté. Voici pourquoi.
La pollution industrielle
La pollution industrielle, c’est la pollution de l’environnement directement induite par les industries quand elles introduisent des altéragènes biologiques, physiques, chimiques ou organiques, affectant de manières importantes le fonctionnement de l’écosystème. En raison de la pandémie, beaucoup d’usines ont fermé. La pollution industrielle a donc diminué.
Les achats locaux
Grâce à l’augmentation des achats locaux, il y a eu beaucoup moins de transport terrestre, aérien et maritime. De plus, ce phénomène a encouragé nos Québécois à produire plus localement.
La diminution de l’utilisation des moyens de transport
Évidemment, c’est principalement la pollution atmosphérique due aux gaz d’échappement des différents moyens de transport qui contribue au réchauffement de la planète. Un troisième effet positif de la COVID-19, c’est que les gens ont beaucoup moins circulé avec leurs automobiles. Premièrement, les personnes ont fait du télétravail et pour économiser, ils se sont débrouillés avec les choses qu’ils avaient à la maison. Deuxièmement, les avions polluent beaucoup et plusieurs voyages aériens ont été annulés. Cette baisse dans les transports a sensiblement diminué la consommation de pétrole.
Les bateaux de croisières
Un bel exemple de la Covid-19 qui contribue à aider l’environnement, ce sont les bateaux de croisière. Les bateaux de croisière créent énormément de pollution. Depuis mars, les voyages ne pouvaient avoir lieu. Puisque les moteurs tournent 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, ce polluant est reconnu, non seulement pour acidifier les milieux naturels terrestres et aquatiques, mais aussi pour nuire sérieusement à la qualité de l’air des villes qui les accueillent.
Les gaz à effets de serre
Ensemble, tous ces phénomènes ont contribué à la diminution de gaz à effet de serre (GES). Des études indiquent que les mesures prises pour lutter contre la pandémie ont entraîné une baisse de 17 % des émissions de GES dans le monde. Sans effet de serre, le développement de la vie serait plus difficile. Si ce phénomène n’était pas présent, la température moyenne de la surface de la Terre serait d’environ -18 °C. Heureusement, il est présent, ça fait que la température moyenne sur la Terre est d’environ +15 °C. Une partie des rayons infrarouges du soleil traversent l’atmosphère et se perdent dans l’espace, mais une autre partie de ceux-ci sont emprisonnés dans l’atmosphère par les GES, ce qui augmente la température globale de la surface terrestre. Le problème, c’est qu’en 2020, les humains produisent trop de GES, donc la planète est trop chaude. Cet effet se nomme le réchauffement climatique. La diminution des émissions aura donc un impact positif direct sur l’environnement terrestre.
Ensemble, sauvons l’environnement
Nos comportements pendant la COVID-19 auront énormément aidé la planète. Elle nous aura démontré qu’avec de petits gestes simples, nous pouvons avoir un impact direct sur l’environnement. Il faut faire attention à notre planète, elle en a besoin.
Sources importantes: alloprof, radio canada, Wikipédia
