Culture Vie scolaire

Les élèves de secondaire 1 s’ouvrent sur le monde

Ève-Marie Lemoine, Mont Notre-Dame 7 décembre 2018

Drapeau du Pérou

Le 8 novembre dernier, le conseil des élèves de secondaire 1 a décidé d’organiser une activité qui permettrait aux élèves de leur niveau d’apprendre à mieux connaître les différentes cultures des personnes qu’elles côtoient quotidiennement dans leurs classes. Grâce à cette belle initiative, les filles ont pu en apprendre un peu plus sur la culture cubaine, marocaine, iranienne, chinoise, belge, serbe, bosniaque, tunisienne, algérienne, péruvienne, thaïlandaise et française. De plus, la date de l’événement coïncidait avec la Semaine sherbrookoise des rencontres interculturelles. C’est lors d’un événement comme cela qu’on réalise que nous ne sommes pas seuls au monde.

«Le but de cette activité était de montrer aux filles de secondaire 1 à quel point il y a des cultures différentes entre elles»

Pour chacune des cultures, les élèves concernées venaient à l’avant nous expliquer certaines informations par rapport à leur culture, comme la nourriture traditionnelle, la langue parlée, les fêtes traditionnelles, la danse et plus encore. Même que parfois, étonnamment, nous découvrions que certaines filles n’étaient pas Québécoises comme nous le pensions.

Drapeau de la Thaïlande

«Le but de cette activité était de montrer aux filles de secondaire 1 à quel point il y a des cultures différentes entre elles», m’a gentiment expliqué une fille du conseil de classe du groupe 101. Elle m’a aussi expliqué que c’était pour nous faire réaliser que même si notre culture est différente, on s’entend super bien!

J’ai aussi parlé avec une élève qui a eu la chance d’assister à cette présentation. Elle m’a dit qu’elle avait particulièrement aimé le côté naturel des filles qui présentaient et que ça lui avait permis d’apprendre certaines informations surprenantes sur les filles de son niveau. 

Finalement, je trouve que le conseil des élèves de secondaire 1 a pris une très belle initiative en organisant cette activité qui a fait ressortir la diversité culturelle présente à l’école. J’espère qu’elle useront encore d’imagination pour permettre aux filles de revivre une expérience semblable.

 

Ève-Marie Lemoine Mont Notre-Dame